En raison de l’adaptation nécessaire à la nouvelle réalité imposée par la pandémie de COVID-19, l’ombudsman de la Nouvelle-Écosse, William A. Smith, a déclaré que l’année 2020-2021 était sans précédent.
Politique du département
En raison de l’adaptation nécessaire à la nouvelle réalité imposée par la pandémie de COVID-19, l’ombudsman de la Nouvelle-Écosse, William A. Smith, a déclaré que l’année 2020-2021 était sans précédent.
En juin 2017, un représentant de l’ombudsman a remarqué que plusieurs plaintes avaient été reçues le mois précédent au sujet de l’efficacité du processus de traitement des plaintes au Wood Street Centre (WSC). Parmi ces plaintes, beaucoup portaient sur des formulaires de plainte manquants.
Le rapport final de l’examen des décès d’enfants effectué par le Bureau de l’ombudsman a été publié en 2014; la mise en œuvre des recommandations fait depuis l’objet d’un suivi.
Il arrive qu’une personne découvre les services du Bureau de l’ombudsman par l’entremise d’un ministère auquel il a affaire.
Le rapport annuel du Bureau de l'ombudsman pour l'exercice 2019-2020 présente les activités préalables à la pandémie, ainsi que les réalisations et des exemples de cas, selon l'ombudsman William Smith.
Vous trouverez ci-dessous une sélection de rapports mis à la disposition du public:
Le Bureau de l'ombudsman de la Nouvelle-Écosse a traité 2278 plaintes, demandes de renseignements et communications avec des jeunes au cours de l'exercice 2018-2019. Dans son rapport annuel déposé à l'Assemblée législative le 1er…
Une lettre anonyme a été transmise au Bureau, laquelle alléguait que la Commission de la fonction publique avait commis un acte répréhensible lié à ses pratiques d’affichage de postes. Le plaignant prétendait que, dans le cas de certains postes, la CFP limitait les candidatures aux personnes appartenant à des groupes sous-représentés.
Le Bureau a reçu des plaintes de plusieurs personnes concernant la Commission du prêt agricole de la Nouvelle-Écosse, qui fait partie des Agences de prêts de la Couronne. Les plaintes portaient sur des préoccupations liées à la culture au travail, à un contrat d’approvisionnement et à des allégations de violation de la confidentialité et de conflit d’intérêts.